Bonjour Rachel, c’est Albert au téléphone. Je sais, je suis en vacances et je ne devrais pas appeler au bureau. Mais j’ai un problème. Je suis en voyage et je suis censé retourner le 11 juin, mais j’ai entendu dire que les personnes qui travaillent à l’aéroport vont bientôt entrer en grève. Je ne suis pas certain, mais tout le monde dit que c’est une question de temps avant que ça arrive. Je voulais te prévenir, car je n’ai pas amené le chargeur de mon téléphone et je crois que la batterie est très faible. Ne sois pas surprise si je ne suis pas au travail le 12 ! Je dois te laisser ! Au revoir !

Salut Gabriel, c’est Justine qui appelle. Nous avons essayé de déterminer le menu du repas pour la fête de bureau de jeudi prochain.  Nous hésitons entre la pizza ou le barbecue.  Pourrais-tu me faire part de ton choix d’ici vendredi ?  Merci, bonne journée.

Bonjour Mireille, c’est Justin. J’appelle puisque je serai absent du bureau demain, le 25 août. Ma femme est en train d’accoucher de notre enfant.  Au besoin, Tony est en mesure de répondre aux questions relatives au projet. Merci, au revoir.

Bonjour, c’est le bureau du docteur Deschamps qui appelle pour confirmer votre rendez-vous de ce mercredi à 11h30. Si vous ne pouvez pas y être, veuillez s’il-vous-plaît nous rappeler au 613-882-9754 ?  Merci, bonne journée.

Bonjour madame Drouin, c’est Martine Gauthier du département des finances qui appelle. J’aurais besoin de la liste des dépenses de votre département pour le mois de janvier afin de finaliser mon rapport mensuel.  J’apprécierais si vous pouviez me la faire parvenir le plus tôt possible. Merci, au revoir.

Bonjour Wendy, c’est Karianne. Écoute, on vient de me charger d’une grande tâche pour demain, et je crains que je ne pourrai plus terminer le rapport de progrès pour la date demandée. Pourrais-tu me faire une faveur et passer en revue le rapport pour y ajouter tout ce que tu trouves nécessaire ? J’apprécie énormément, merci. À tout à l’heure.

Bonjour Patrick, c’est Colette. J’appelle parce que je me demandais si le tournoi de golf annuel avait toujours lieu cet après-midi, malgré la pluie abondante. Si tu pouvais me le faire savoir, j’apprécierais. Merci, au revoir.

Bonjour Zacharie, c’est Monique à l’appareil. Je dois bientôt effectuer votre rapport de rendement, et j’appelle pour fixer une date à laquelle nous pourrions discuter de votre travail.  Pourriez-vous me rappeler pour prendre rendez-vous ? Merci, bonne journée.

Salut Hugo, c’est Christiane. Serge, Jean et moi formons une équipe de hockey pour le tournoi interne aux profit de CHEO, et on se demandait si tu voulais te joindre à nous.  Fais-nous savoir ce que tu en penses, d’accord ? Salut.

Bonjour Lucie, c’est Camille. J’aimerais réserver une salle pour la réunion des chefs de section jeudi prochain à 10h. Pourrais-tu m’indiquer les salles qui sont libres ? Merci, au revoir.

Bonjour Marc, c’est Pauline. Je me demandais si tu savais quand nous allions recevoir les stores pour les fenêtres de la salle 311. Le soleil commence vraiment à déranger l’équipe. Si tu pouvais nous faire part d’où en est la commande ce serait super. Merci, salut.

Bonjour Denise, c’est Manon. Écoute, je vais arriver un peu tard au bureau ce matin. C’est la rentrée scolaire et je dois amener ma fille Jacqueline à l’école. Elle commence sa première année. Je dois m’assurer qu’elle a tout ce dont elle a besoin : crayons, efface, marqueurs, papier, cartable, duo-tang, et j’en passe.  Je vais rencontrer son enseignante, et voir sa salle de classe. En tout cas, j’espère que c’est correct. Merci, à plus tard.

Bonjour Jules, c’est Alex. Je me demandais s’il y avait moyen de repousser l’échéance du projet d’environ une semaine.  Plusieurs de mes employés sont en congé, et nous ne croyons pas pouvoir terminer notre part pour la date prévue. Pourriez-vous me rappeler pour en discuter ? Merci, au revoir.

Bonjour Claude, c’est Rachel qui appelle. Écoute, il y a un problème qui est survenu au cours du projet pour le nouveau logiciel informatique, et nous ne croyons pas pouvoir le résoudre pour la date d’échéance du 31 mai. On se demandait si on pouvait reporter la fin du projet pour le début de l’automne, peut-être la fin septembre. Avec l’été qui s’en vient, plusieurs membres de l’équipe seront en vacances, et le projet n’avancera plus aussi rapidement. Nous croyons que, même avec ce délai, nous pourrons lancer le nouveau logiciel l’hiver prochain comme prévu. Pourrais-tu nous faire savoir si ces nouvelles échéances sont correctes ? Merci, au revoir.

Salut Pete, c’est Francine. Victor et moi nous demandions si tu voulais te joindre à nous et former une équipe pour participer au concours de création d’un nouveau logo pour la compagnie. Nous avons déjà commencé à y penser, nous croyons qu’il faut des courbes, mais nous n’arrivons pas à nous mettre d’accord sur la forme. Victor propose un ovale, moi je préfère une spirale, et Justin nous a proposé un cercle, ou encore un octogone. En tout cas, toi qui a des talents d’artiste, peut-être tu pourrais nous suggérer quelque chose, si ça te tente. Fais-nous savoir si tu es intéressé ! Bye.

Bonjour Louis, c’est Marie. Je suis désolée, je vais arriver un peu tard ce matin, je me suis levée une heure plus tard que je suis supposée. J’ai déjà déjeuné, mais, bon vous savez, je dois encore brosser mes dents, prendre ma douche, m’habiller, me sécher les cheveux pour ensuite les brosser, me maquiller, me parfumer. . . Serais-ce possible de reporter la réunion à 11h ? Merci Louis, à plus tard.

– Bonjour Karine !- Bonjour Daniel ! Vous vouliez me voir ?- Oui, s’il te plaît, entre. Je voulais aborder un sujet avec toi.

– D’accord.

– Voilà, j’ai reçu certaines plaintes en raison de ton code vestimentaire.

– Vraiment ? Je ne crois pas que je m’habille mal !

– En fait, je pense que certains de tes collègues estiment que tu ne portes pas des vêtements appropriés pour le travail.

– Je ne comprends pas ce qui les dérange dans mes tenues !

– Et bien, d’abord tu portes des jupes très courtes et aussi des chemisiers un peu trop décolletés. Il faudrait également que tu fasses attention à ne pas montrer tes sous-vêtements. Cela peut mettre mal à l’aise les employés et nos clients.

– Très bien. Je surveillerai mon habillement de plus près.

– Merci de ta compréhension, Karine.

J: Bonjour PierreP: Bonjour Julie, y a-t-il un problème, tu as l’air inquiète ?J: Oui, tu sais que votre réunion commence dans un peu moins de deux heures et je n’ai pas encore distribué ton rapport.

P: Ah oui !, et pourquoi, que se passe-t-il ?

J: Je viens de me rendre-compte qu’il manquait la page 12.

P: Ne t’inquiète donc pas, je vais tout de suite en imprimer une dizaine puis nous demanderons à Martin de nous aider à les insérer dans les exemplaires, nous serons prêts à temps. Mais merci d’avoir été, comme d’habitude, aussi consciencieuse et d’avoir décelé le problème.

-Bonjour Sarah, puis-je te parler un instant ?-Bien entendu ! Qu’y a-t-il, Julien ?-J’ai un problème avec Rémi.

-Ah bon? Lequel ?

-Et bien, je crois qu’il fume la cigarette dans les toilettes.

-Rémi fume à l’intérieur ?

-Je pense, oui. Je ne le vois jamais sortir de son bureau pour aller dehors. Pourtant, il sent de plus en plus la fumée chaque fois que je le vois revenir de la salle de bain.

-Mais es-tu certain de ces allégations ?

-Je n’ai aucune certitude. À moins que je n’arrive à le prendre sur le fait.

-Et bien, d’ici là, je crois qu’il n’y a rien à faire sans preuve évidente.

-Je comprends. J’espère qu’il arrêtera de lui-même.

-Moi aussi si cela est vrai. Merci Julien.

-Merci Sarah !

-Bonjour Sophie ! Comment vas-tu ?-Pas très bien, Vincent… J’ai passé une mauvaise soirée hier.-Pourquoi donc ?

-Je t’avais dit il y a quelques semaines que j’avais acheté sur Internet une peinture.

-Oui, je m’en souviens.

-Et bien, elle est arrivée hier chez moi.

-Tu devais être contente.

-Oui… jusqu’à ce que je la déballe. C’était une toile sans intérêt, nullement semblable à l’image qu’il avait sur le site web.

-As-tu tenté de te faire rembourser ?

-C’est ça le problème. La page Internet n’existe même plus. Je me suis fait escroquer de mille dollars.

-Pauvre toi !

-Et bien, cela me servira de leçon ! Je n’achèterai plus rien électroniquement, c’est certain ! Je dois retourner travailler. A plus tard, Vincent !

-Je suis encore désolé pour toi, Sophie! On se reparle plus tard !

-Bon matin Audrey !-Bon matin Steve ! As-tu reçu mon message ?-Non, je ne crois pas. De quoi s’agit-il ?

-Il s’agit d’une formation pour perfectionner tes compétences en gestion.

-Ah bon ? Je n’étais pas au courant.

-Je t’ai choisi pour assister à ce cours, car je sais que tu souhaites devenir directeur dans les années à venir et j’ai pensé que ce serait une bonne idée que tu aies accès à une formation sur la gestion.

-C’est gentil d’avoir pensé à moi de cette façon.

-C’est tout à fait normal. Je suis consciente que tu vas t’élever dans la hiérarchie. Je souhaite t’encourager dans cette direction.

-Cela me fait plaisir. Mais dis-moi Audrey, quand a-t-elle lieu cette formation ?

-Elle se déroulera le 13 juin prochain.

-C’est dans une semaine !

-Oui. Et tu devras voyager pour y assister, car le cours est à Toronto et est d’une durée de trois jours.

-D’accord, je vois. Je vais devoir m’arranger avec ma femme, parce que nous avons quatre enfants dont nous devons nous occuper.

-Je comprends naturellement. Reviens me voir cette semaine. On en reparlera.

-Très bien. Merci Audrey !

-Bonjour Dominic !-Bonjour Hélène ! Pourrais-tu venir dans mon bureau un instant ?-Oui, certainement.

-Merci ! J’ai besoin d’aide pour un projet.

-D’accord.

-Comme tu le sais, notre entreprise engage chaque été plusieurs stagiaires. Je voudrais que cette année soit encore plus profitable pour les étudiants que par les années passées.

-Que veux-tu que je fasse ?

-Malheureusement pour moi, je n’ai pas énormément de temps pour me concentrer sur cette tâche. Je souhaiterais que ce soit toi la responsable.

-J’aimerais beaucoup.

-Très bien. Je voudrais que tu t’occupes de trouver des postes disponibles à combler par des stagiaires et que tu énumères les tâches qu’ils auraient à accomplir. Fais-en une liste que tu me donneras pour que je vérifie le tout. Ensuite, tu seras en charge de l’envoyer aux universités de la région.

-C’est bien. Je m’y mets sur le champ. Merci Dominic !

-Merci à toi, Hélène !

-Bonjour Nancy !-Bonjour Henri ! Tu vas bien ?-Oui, ça va. As-tu répondu au sondage concernant la satisfaction au travail ?

-Oui, je viens de le terminer ce matin.

-Comment l’as-tu trouvé ?

-J’ai pensé que c’était une perte de temps. Les questions n’étaient aucunement pertinentes. Je crois vraiment que c’était inutile.

-Ah oui ?

-Je ne crois pas non plus que mes réponses vont changer quoi que ce soit au travail. Je ne suis peut-être pas complètement comblé par mon emploi, mais je suis heureuse de l’avoir tout de même.

-Tu ne penses pas qu’en répondant au sondage tu pourrais être plus satisfaite de ton travail ?

-Non, ces sondages ne valent rien. Ils vont les jeter à la poubelle. Mais tu sais comme moi qu’ils sont obligés de nous les faire remplir.

-J’espère que tu n’as pas raison, car je veux croire que les sondages peuvent améliorer notre qualité de vie au travail.

-Je le souhaite aussi, mais je n’ai guère d’espoir.

-Et bien, je dois retourner travailler. À plus tard Nancy.

-À bientôt Henri !

-Bonjour Mélissa !-Bonjour Hugo ! Tu vas bien ?-Oui, ça va, merci. Et toi ?

-Pas mal. Sais-tu ce que j’ai vu ce matin ?

-Quoi donc ?

-J’étais à la salle de bain et j’ai remarqué que deux femmes sont sorties sans même s’être lavé les mains.

-Ce n’est pas très hygiénique.

-Non, en fait, je trouve cela dégoûtant. J’apprends l’hygiène à mon garçon de trois ans. Comment des adultes peuvent-ils négliger une telle chose ?

-Je ne sais pas, mais je ne crois pas qu’on puisse faire quelque chose.

-Tu penses ? Je crois quant à moi qu’il est nécessaire de réagir.

-Que vas-tu faire ?

-Je vais imprimer une feuille sur l’hygiène dans la salle de bains. J’enverrai un courriel à notre gestionnaire pour qu’il transmette un message à tout le monde. Je pense que c’est important en particulier avec tous les virus qui courent maintenant.

-C’est vrai ! Je dois m’en retourner ! J’attends ton courriel !

-D’accord ! À plus tard Hugo !

-Bon matin Catherine !-Bon matin Carl ! Que fais-tu ici si tôt ?-Je fais des recherches sur mes ancêtres.

-Pour quelle raison ?

-Je veux retracer mon arbre généalogique pour connaître ma famille et ses origines.

-As-tu trouvé beaucoup d’informations ?

-Non, malheureusement. Je connais bien les membres de ma famille rapprochée comme mes oncles, mes tantes, mes cousins et cousines. Mais je n’ai pas réussi à trouver des renseignements sur ma famille éloignée. J’ignore qui sont mes arrières-grands-parents paternels, car ils sont décédés alors que mon grand-père était un bébé.

-Cela doit prendre beaucoup de ton temps et de ton énergie.

-Oui, mais je crois que ça en vaut la peine. J’aimerais un jour donner le document à mes enfants. Ce sera un bel héritage, je crois.

-Je n’en doute pas. Je souhaiterais aussi faire un arbre généalogique de ma famille. J’ai toujours rêvé de connaître mes origines.

-Je te montrerai comment faire si tu veux.

-Oui, ce serait bien. Merci Carl ! Je te revois tantôt !

-D’accord. À plus tard !

-Bonjour Carmen !-Bonjour Jérémie ! J’ai un sujet dont j’aimerais discuter avec toi. Peux-tu entrer ?-Oui, bien sûr.

-Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je dois questionner tous les employés, car j’ai un problème sérieux. Alors, voilà : Es-tu au courant qu’il y a eu une fuite d’informations dans notre secteur ?

-Non, je l’ignorais. Depuis combien de temps ?

-Je ne sais pas exactement, mais j’ai appris avant-hier cette nouvelle.

-Ce doit être une situation difficile à gérer.

-En effet. Le problème est que je ne sais pas qui est le coupable. Les informations divulguées étaient secrètes, voire top secrètes.

-Je suis désolé, Carmen. J’aimerais t’être utile, mais je ne sais rien à ce sujet.

-D’accord, je te crois. J’espère seulement que le coupable va être démasqué, car pour le moment, la situation est critique.

-Je comprends. Le sous-ministre ne doit pas être ravi de cette nouvelle.

-Non, tu peux me croire. Je te remercie, Jérémie.

-Il n’y a pas de quoi. Bonne journée Carmen !

LINDA : Bonjour Charles.CHARLES: Ah, allô Linda. Tu vas bien ?LINDA : Pas trop.

CHARLES: Oui, j’avoue que tu n’as pas l’air dans ton assiette.

LINDA : J’ai attrapé un rhume. Je n’arrête pas de tousser, j’ai la gorge sèche et mon nez coule à tout bout de champ. . . . Atchoum !

CHARLES: À tes souhaits.

LINDA : Merci.

CHARLES: Écoute, si tu veux prendre l’après-midi de congé, c’est correct. Nous n’avons pas de projets pressants, et tu m’as l’air d’avoir besoin de sommeil.

LINDA : Ah oui, merci, ça serait super. En effet, je n’ai pas bien dormi hier soir. Je n’arrêtais pas d’éternuer, je devais continuellement me moucher. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit.

CHARLES: Oui, va donc te reposer. Tu en as besoin. Et si tu n’es pas mieux d’ici demain, tu n’as qu’à m’appeler et me faire savoir que tu ne pourras pas rentrer.

LINDA : D’accord, merci. À la prochaine.

CHARLES: Repose-toi bien.

MARIO : Jocelyne, c’est à votre tour.JOCELYNE : Bonjour Mario. Merci, juste à l’heure, comme je l’apprécie tant.MARIO : Mais oui, j’essaie d’offrir des services de qualité à mes clients.

JOCELYNE : C’est toujours apprécié. Et je suis certaine que vous ne me décevrez pas. Vous êtes un excellent coiffeur.

MARIO : Bon, d’accord, c’est assez avec la flatterie. Que fait-on avec vos cheveux aujourd’hui ?

JOCELYNE : Hé bien, comme vous le savez, j’ai choisi de laisser pousser mes cheveux ces derniers temps, mais maintenant, ils commencent à me tanner. J’aimerais me les faire couper jusqu’au menton.

MARIO : D’accord. Voulez-vous toujours les garder raides ?

JOCELYNE : Hmmm. . . non, je vais essayer quelque chose de nouveau. Pouvez-vous me les friser ?

MARIO : Mais absolument !

JOCELYNE : Et je crois que j’aimerais faire une coloration. J’en ai assez d’être brune. Peut-être vers le blond ?

MARIO : D’accord. Vous verrez, une fois sortie d’ici, vous ne vous reconnaîtrez plus !

DIANE : Bonjour.CLAUDE : Bonjour et bienvenue à Tout immeuble. Que puis-je faire pour vous ?DIANE : Je cherche une commode.

CLAUDE : Ah oui, par ici, madame. Vous cherchez quelque chose de quelles dimensions ?

DIANE : Environ un mètre en longueur, cinquante centimètres en profondeur, et 1,5 mètre en hauteur, en bois préférablement.

CLAUDE : Un peu comme celle-ci ?

DIANE : Oh oui, c’est parfait.

CLAUDE : Et vous êtes au bon endroit au bon moment. Aujourd’hui, toute notre marchandise est en solde de 25%.

DIANE : Oh wow, le quart du prix. Eh bien, je n’hésite plus, j’achète.

CLAUDE : Je vous remercie de votre achat, madame.

WAYNE : Salut Jackie. Es-tu prête à aller dîner ?JACKIE : Oui, attends deux secondes que je sauvegarde mon document. . . . Bon. Allons-y.WAYNE : Hé Jackie, penses-tu que tu pourrais me passer quelques sous pour l’achat de mon dîner ? Je n’ai plus d’argent comptant sur moi. Je te repaierais demain.

JACKIE : Tu n’as pas de carte de crédit ?

WAYNE : Non, je l’ai oublié chez moi.

JACKIE : Je voudrais bien, mais je n’ai que des pièces de vingt-cinq cents. J’allais m’arrêter au guichet automatique en chemin vers le restaurant.

WAYNE : Bonne idée, je viendrai avec toi.

JACKIE : Super. Allons donc remplir nos portefeuilles de beaux gros billets, et ensuite, nous irons remplir nos estomacs de bonne nourriture.

WAYNE : Allons-y.

MONICA : Salut Alfred.ALFRED : Hey Monica ! Ça va bien ?MONICA : Juste fatiguée. Mon fils voulait absolument voir la planète Jupiter la nuit passée, il ne voulait pas se coucher avant de l’avoir vue. Je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête. Mais mon mari et moi, nous ne connaissons rien en astronomie, nous n’avons pas pu le lui monter, et j’ai dû employer beaucoup d’énergie et de force physique pour le mettre au lit. Ensuite, il a hurlé de rage pour un autre deux heures.

ALFRED : Ayoye. Écoute, moi, je m’y connaîs en astronomie, c’est ma passion. Si tu veux, je pourrais passer chez toi cette fin de semaine. J’emmènerai mon télescope et je montrerai à ton fils non seulement Jupiter, mais Mars, l’Étoile polaire, la Voie Lactée, les constellations . . . Je ferai de lui un mini-astronome.

MONICA : Ah super ! Ça serait parfait. Lui qui veut devenir astronaute, il sera fou de joie.

ALFRED : Alors, à samedi soir, disons, 20h ?

MONICA : Parfait. A samedi. Salut.

ALFRED : Au revoir.

CHLOÉ : Salut Daniel, es-tu prêt pour une autre grosse journée au travail ?DANIEL : Ouf, pas trop. J’ai si peu d’énergie. . .CHLOÉ : Ne me dis pas que tu n’as encore une fois pas déjeuné ce matin.

DANIEL : Eh bien . . .

CHLOÉ : Oh Daniel, pourquoi fais-tu ça ?

DANIEL : J’sais pas . . . Manque de temps . . .

CHLOÉ : Honnêtement, je ne sais pas comment tu fais. Moi, je ne crois pas que je pourrais commencer ma journée sans me donner un peu d’énergie. Puis, c’est tellement bon. Tant de choix. Une bonne rôtie avec de la confiture aux fraises, une banane, des bonnes céréales, du gruau, des œufs, du yogourt, un croissant, le tout avec du jus de pomme, du jus d’orange, du café . . .

DANIEL: Arrête, tu me donnes faim.

CHLOÉ : Viens, nous allons faire un tour à la cafétéria. Tu verras, une fois que tu auras pris un bon déjeuner, tu seras prêt pour n’importe quoi.

DANIEL : Oui, même pour travailler avec toi toute la journée.

CHLOÉ : Ha ha.

DANIEL : Bon, allons-y.